Lettres d’une Péruvienne, par Françoise de Graffingy est une histoire d’une femme, Zilia, qui est kidnappé par les conquistadors espagnoles au jour de son mariage. Elle est une proche parent de son futur mari, Aza, et elle a préparé tout sa via pour cette moment de mariage avec lui. Les conquistadores espagnols ont pris Zilia et ont débarqué en Europe. Pendant le voyage, le bateau était agressé par les Français et Zilia était recueilli par Déterville qui lui a enseigné parler français. Un roman épistolaire est un roman qui utilise les lettres pour narrer une histoire. Dans Lettres d’une Péruvienne, Graffigny utilise ce mécanisme pour transmettre un message féministe. Les lettres permettent une voix pour cette femme qui, dans cette société en France, ne l’avait pas normalement. Les Péruviennes ont utilisé les quipos ou, comme Graffigny a expliqué : « des cordons de coton ou de boyau, auxquelles d’autres cordons de différentes couleurs étaient attaches, leur rappelaient pas de nœuds placés de distance en distance, les choses dont ils voulaient de ressouvenir. Ils leur servaient d’annales, de codes, de rituels, de cérémonies, etc. ». En traduisant les quipos en lettres Françaises, Zilia avait une voix unique aux autres en France. Elle était la seule femme, ou personne, qui les pouvait traduire. Les quipos représentent la voix des femmes dans la société Français. En tant que les quipos pour les gens Français les femmes sont silencieuses et elles n’ont pas des voix, des histoires, ou des opinions. En donnant une langue aux quipos, Zilia s’est donné une voix a elle-même. Avec les quipos, elle commence son voyage à l’indépendance. La voix masculine dans les lettres n’existe pas. Même si elle écrivait toutes les lettres à deux hommes, il y a seulement une réponse par Aza dans le roman, et une fois où la voix de Déterville est écrite. Un autre trait féministe dans le roman c’est que dans une société patriarche la femme parle plus que les hommes. En excluant la voix