L'intelligence émotionnelle
Le présent mémoire se centre sur les aspects essentiels du processus d’influence qui s’établie entre un/une leader et ses collaborateurs.
Les compétences émotionnelles se découpe en quatre branches dans la théorie de l’Intelligence
Emotionnelle de Mayer et Salovey (1997) : perception, compréhension, intégration et gestion des émotions.
Finalement, mon objectif était de connaître l’importance d’émotion dans la relation leader- collaborateurs. Mots clés : intelligence …afficher plus de contenu…
d'autres. Les auteurs défendent que toutes les compétences sont liées les unes aux autres, tout comme les quatre domaines où elles sont regroupées. Par exemple, la conscience de soi permet l’empathie et l’autogestion, et la combinaison appropriée de ces deux dernières permet une gestion efficace des relations. Selon cette théorie, un espace de développement est ouvert puisqu’on considère que ces compétences n’ont pas de base innée et peuvent être élargies. Richard Boyatzis, le plus grand représentant de ce modèle avec Goleman, affirme que sa proposition d'intelligence émotionnelle, contrairement à celle de Mayer et
18Salovey, vise également à tenter de prédire les modèles de comportement et leurs …afficher plus de contenu…
Par conséquent, il se consacre à étudier et à rechercher quels facteurs peuvent être à l’origine de ce succès. Enfin, il propose un modèle multifactoriel dans le but d'augmenter les compétences impliquées dans l'intelligence non cognitive.
Bar-On (1997) a défini l’intelligence émotionnelle comme un ensemble d’aptitudes et de compétences personnelles, émotionnelles et sociales qui influencent notre capacité à nous adapter et à faire face aux demandes et aux pressions de l’environnement. De cette idée, il fonde son modèle théorique où l'intelligence émotionnelle est liée au potentiel de performance, mais en la considérant comme un processus bien plus important que les réalisations à