Louis aragon, ce que dit elsa
Ce corpus est composé de poèmes du XIXè mais aussi du XXè siècle ; chacun d'ente eux traçent des visions différentes de l'homme qu'ils définiraient comme "poète". Cependant, on peut voir es points de convergence mais aussi de divergence.
Ainsi, on peut relever, pour commencer, les points communs.
Tout d'abord, on peut mettre en avant la fonction privilégiée que le poète entrtient vis-à-vis des autrs hommes mais aussi de Dieu (textes 3 et 2). Le texte 2, préesnte ce privilège par le fait que les hommes poètes ressentent les choses et évènements différement des autrse hommes "ce qui ne fait qu'effleurer les autres le blesse" ; ce poète en devient donc inhumain "le feu couve" tant il est rare de voir un homme appartenir à cette race "il appartient à cette race exquise et puissante". Quant au texte 3, il définit le poète comme un homme auquel Dieu se confie et de par ce fait, il revêt une sorte de lumière "Dieu parle à voix basse à son âme". Le poète peut aussi être caractérisé par sa fonction de porte parole qui s'adresse au(x) peuple(s) et à qui il porte un message. On peut dans ce cas, invoquer le texte 3 et 4 qui sont de parfaits exemples ; "peupes ! écoutez le poète" du texte 3 est une injonction directe ; le quatrième, lui parle plus implicitement de ce message "chante pour les oiseuax" et "donne une raison de vivre". On peut ensuite englober tous les textes du corpus pour parler de la fonction de poète innée qui est attribuée dès la naissance "je n'ai ni père ni mère" (texte 1), "l'émotion est née avec lui" (texte 2), "écoutez le rêveu sacré" et "ceux dont tu rêves (texte 4). Enfin, on peut justiifer et avancer la passion des poètes dévorés par leurs convictions dans chacun des textes : "ton poème soit l'espoir qui dit A suivre" (texte 4) ; "marche courbé dans vos ruines" (texte 3) ; "autre sorte de nature plus passionnée" (texte 2) ; "j'aime les nuages" (texte 1).
Mais on peut aussi parler des divergences qui existentent entre les poèmes.
En