Madame du châtelet discours sur le bonheur
A.L'argumentation du texte
L’expression d’un but, cela s’énonce avec une anaphore : « il faut »
Manière pragmatique de raisonner : elle fait un bilan. Au quotidien, le scientifique prend des notes ; c’est une thèse optimiste, hédoniste, vivre avec intensité.
Discours structuré : « il faut commencer par » ; « ce serait donc » ; Des connecteurs logiques s'ajoutent à l'organisation du discours. « Mais » ; « on connaît donc » ; « or » ; « il est donc à désirer ».
Les figures de style contribuent à mettre en valeur les idées de l'auteur, nous pouvons mettre ainsi en évidence des antithèses comme «le bien et le mal» ou encore «malheureux» et «heureux», un oxymore, « bonheur obscur ». Deux thèses sont alors en présence, celle du bien et celle du mal. Le discours se construit de manière très méthodique autour de la question du bonheur, il s'agit de poser l'idée que les passions vécues intensément sont la seule façon pour l'homme d'être heureux. Les arguments se multiplient et les citations récurrentes sur cet aspect sont nombreuses, on peut lire, «se bien dire et se bien convaincre», «on n'est heureux que...»,.......
Le syllogisme, argument logique basé sur trois propositions, une majeure, une mineure et une conclusion. L'argument par syllogisme est le suivant: «Mais supposons... passions».
L'ensemble des procédés oratoires sont encore mis en avant par des questions rhétorique comme «les passions ne font-elles pas plus de malheureux que d'heureux? Et des répétitions qui ont valeur d'un rappel: «et je le répète encore».
B. L'énonciation et l'adhésion de l'auteur
- Elle a une nouvelle conception des passions. L’énonciation nous fait remarquer un glissement ; elle dit « je », «je le répète encore»... Nous pouvons en outre mettre en évidence la figure de style qui lui permet de valoriser son jugement sous la forme d'une métaphore, «je n'ai pas la balance nécessaire pour peser le bien et le mal». . Elle s’implique ligne 17. C’est