Marc aurele
Comment devons-nous nous conduire/comporter face aux vices, à la méchanceté des Hommes ? Comment agir ?
Tel est le problème qu'aborde Marc Aurèle dans cet extrait de Pensées pour moi-même , dont la forme est celle d'une courte réflexion portant sur notre devoir et notre conduite envers les autres. Selon lui, nous ne pouvons et ne devons pas chercher à lutter contre le comportement incorrect des Hommes mais plutôt essayer de comprendre pourquoi ils agissent de la sorte. Marc Aurèle montre d'abord que le monde est composé de pécheurs, d'impudents, de vices contre lesquel nous ne pouvons pas lutter (lignes 1 à 9), puis nous explique comment la vertu peut soigner le vice (lignes 9 à 14), et enfin réprimande les hommes qui s'irritent face au caractère de l'autre (lignes 14 à 23).
DÉVELOPPEMENT :
[Lignes 1 à 9]
« Lorsque tu te heurtes… Cela ne se peut. » (l. 1-3). Ici l'auteur s'adresse à un interlocuteur
« Ne demande… dans le monde. » (l. 3-5).
« Que la même question… chacun d'eux. » (l. 5-9).
[Lignes 9 à 14]
« Il est bon… contre ce vice. » (l. 9-10). Nous avons ici la notion de vertu qui ce penche sur les qualités d'une personne, qui influe sur les décisions de cette dernière dans la perspective de la réalisation de soi. La réalisation de soi est très importante pour les stoïciens.
« Elle lui a donné… les autres vices. » (l. 10-12).La vertu est un bon remède face à l'impudence d'autrui
« D'une manière générale… s'égarer. » (l. 12-14).
[Lignes 14 à 23]
« Quel tort… pour toi. » (l. 14-17).
« Qu'y a-t-il… des fautes. » (l. 17-20).
« Car en raisonnant… qu'il pèche! » (l. 20-23).
CONCLUSION :
Pour conclure, Marc Aurèle répond au problème posé par la notion de vertu. Face à l'impudence d'un homme il est donc de notre devoir d'agir avec pureté. Cependant on peut se demander si le fait d'agir de la sorte serait suffisant pour faire face aux vices
Si la chose dépend de toi, pourquoi la fais-tu?
Si elle