Ses pieds l’avaient tué

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Roxy ferma la lourde porte avec ses pieds et prit son courrier de sa boîte aux lettres. Elle commença à monter les escaliers et poussa un soupir quand la porte de l’appartement de son propriétaire s’ouvrit.
« Bonjour, Mme Larkin. Comment aller-vous ce soir ? » Elle n’avait rien contre Mme Larkin, mais tout ce qu’elle voulait faire était d’aller à l’étage et se détendre.
« Je vais très bien Mme Franks. Avez-vous une minute pour vous arrêter et visiter ? »
Roxy avait remit à plus tard les visites de la vieille dame pour les deux mois complets depuis l’aménagement dans le second rez-de-chaussée. « Ok, juste pour une minute, Mme Larkin, j’ai vraiment besoin d’enlever ces chaussures, mes pieds me tuent. »
Mme Larkin la fit entrer dans sa maison. « Permettez-moi de vous donner un verre de vin, Mme Franks. » Elle remplit deux verres et en donna un à Roxy. « Ici vous êtes chez vous, chérie. »
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Roxy avait remarqué quelque chose d’inhabituel, juste en face d’elle. « Qu’est ce que c’est ? » Elle avait indiqué quelque chose sur la table basse. « Ca ressemble à de vieux bas. »
« C'est ça. Ce sont des bas de soie. Mon mari, James, m’avait acheté cinq paires quand il était revenu de la guerre. Nous nous sommes mariés en 1945, mais il est mort en 1947 et, puisque je ne sors pas souvent, ils ont duré longtemps. C’est la dernière bonne paire. » Mme Larkin sourit. « Il suffit de les sentir. »
Roxy prit une gorgée de vin. « Oh, ils sont merveilleux, beaucoup plus agréable que ces collants que je porte. » Elle sourit à la petite femme aux cheveux blancs.
« Oui, c’est une honte qu’ils ne les font plus. Comment est votre vin, chérie ? »
« Je pense que c’était juste ce dont j’avais besoin. Je commence à me détendre. Vous n’en avez pas eu ? »
« Oh, j’ai eu une double gorgée. »
Roxy regarda la chambre à nouveau. Elle remarqua quelque chose qui semblait complètement hors de place.
« Utilisez-vous des altères, Mme Larkin ? »
« Oh, non, ceux-là