Michel de montaigne

1372 mots 6 pages
1) L’autoportrait.
On constate que Montaigne fait en faite un autoportrait. D’abord, car il utilise la première personne de manière très régulière.
« Je parle au papier » ; chapitre 1.
« Je me contredis bien… » ; chapitre 2.
« Suivant mon propos,… » ; chapitre 3.

On distingue également deux partit : une ou il parle ou présent, il décrit ses sentiments, et une autre au passé : il raconte, cite des exemples pour appuyer ses thèses.

-Dans le chapitre 1, il parle de son enfance, à la page 17 « Enfant, on m’y plongea… »
Il se décrira également comme libre, à la page 11 : « Ma liberté ma aussi… »
-Dans le second, a la page 34, il décrira son œuvre comme inédite, se qualifiant ainsi d’unique, et faisant preuve d’un certain orgueil. Dans ce même chapitre il dira également qu’il ne changerait rien à son parcourt, il veut qu’on le voit de manière uniforme. Il est confiant. Il parait rationnel.
-Dans le chapitre « les coches » on apprend qu’il était parfois pris de mal de ventre, mais qu’il préférait endurer la douleur, plutôt que de se soigné. Il laisse paraitre ainsi un fort caractère, il est décidé. Dans ce même chapitre il jugera que l’amitié est plus importante que la richesse, que cette première amène même cette dernière, ce qui laisse supposer que c’était un homme de confiance.

On peut également caractériser les Essais d’autoportrait car l’auteur demande son avis à lecteur : prenons l’exemple à la page 8, « me direz-vous », ou Montaigne anticipe se que le lecteur pourrait penser. C’est quelque chose à la fois de plaisant, car c’est presque une preuve qu’il prend en compte notre avis, mais en même temps il nous impose se dernier.
Finalement on peut dire que Montaigne avait confiance en lui, il voulait laisser sa trace en temps qu’homme curieux, qui s’intéressait à divers sujets, mais aussi comme un révolutionnaire, qui repense le monde au travers de son œuvre. Il se donne un aspect fort, libre, unique. Il ira même jusqu’à ce dire insensible dans «

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