Parfois, la vie fait que les gens peuvent aller à l'encontre de leurs valeurs et de leurs croyances. Renaud va à l'encontre de sa nature humaine. Vercors publie en 1941 son œuvre, Le silence de la mer. Dans le récit «L’impuissance», Renaud s’insurge contre la nature humaine. Cela dit, Renaud s’insurge contre la nature humaine par sa personnalité, sa révolte par rapport à quelqu’un ou à quelque chose et par la vérité.
Tout d’abord, la personnalité que Vercors à fait de Renaud fait en sorte qu’elle se révolte face à la nature humaine. Renaud est surtout contre l’injustice. Nous ressentons cette injustice dans l’extrait suivant : «(…) toujours prêt à charger sur ses propres épaules le poids de n’importe quelle injustice, - toujours prêt à payer lui-même pour les pêchers du monde.» (p.104-105) D’après ce passage, nous voyons à quel point que Renaud ne veut surtout pas que le mal s’empare de tout le monde. Il est prêt à avoir le malheur des autres sur ses propres épaules, alors il est prêt à tout faire pour avoir la paix dans le monde. Aussi, cet extrait nous démontre, comme figure de style, une métaphore. Cette figure de style nous permet de voir la pensée plus riche de Renaud et plus complexe en voulant dire qu’il prend tout ce poids afin qu’il y ait plus d’injustice. De plus, Renaud est bien sensible. Dans cet extrait : « Je m’étais assis près de lui, et je tenais une de ses mains dans les miennes, et il s’y accrochait, - il s’y retenait et s’y pendait, tout à fait (…).» (p.115) Nous voyons comment que Renaud à peur de s’aventurer dans ces camps de concentration. Il nous fait sentir qu’il n’est pas en sécurité. C’est contre ses valeurs que les personnes le laisse partir sans rien faire pour l’empêcher d’y aller. Bref, Renaud se révolte contre la nature humaine, car il est un être sensible et qu’il est contre l’injustice.
Par la suite, Renaud est tout à fait en désaccord profond par rapport à la nature humaine. Nous voyons à quel point Renaud renonce et abandonne