Mon voyage à Montréal
A l'aéroport de Tunis-Carthage en attendant le départ

Premier jour le 19 septembre 2012.
Il est 11:10, le temps est au beau fixe, l'Airbus de France Air est au point comme prévu, bien sûr, néanmoins l'ensemble est assez exigu, dommage. Mon siège, le 9C, est placé au milieu de la rangée, assez loin du hublot. J'ai pu voir quand même quelques toits de Tunis et des environs. J'ai été accompagné par ma soeur Zizi et ma fille Menel à l'aéroport de Tunis-Carthage très affectueusement et avec ce qu'il faut d'encouragements, de prières et de conseils. Heureusement qu'elles étaient là car au moment du départ, il s'est avéré que j'avais oublié d'acheter le timbre fiscal de 60 dinars, nécessaire au départ. La présence de Ouns était sensible pendant qu'on était dans la cafétéria de l'aéroport. Je lui ai téléphoné ainsi qu'a Taha pour lui demander de bien veiller sur elle, cela l'a touché, je crois.
J'ai fais la connaissance de quelqu'un; il s'agit du père d'un certain Walid, un étudiant à Montréal. Les voyageurs anonymes qui font partie du voyage ont l'air absent, c'est le moins qu'on puisse dire à leur sujet. Le repas servi est insuffisant et très peu goûteux, presque immangeable: un riz à l'eau avec une tranche de carotte râpée, un gâteau presque sec, un morceau très fin de chocolat et une boisson (eau, soda, bière). Les hôtesses de l'air, deux jeunes dames, élégantes et bien habillées avec leur uniforme noir, font leur travail convenablement et même avec le sourire.
Le vol se passe bien et sans incident.
Dans la seconde partie du voyage, je veux dire de Paris à Montréal, j'ai fait la connaissance de M. Dhafer Toukabri, un ingénieur brillant, originaire de Ezzahra et qui connaît beaucoup de monde. Il m'a offert le café à l'aéroport et m'a fait part de conseils judicieux pour que je profite bien de mon voyage. Je devrais, selon lui, ne pas oublier de visiter la ville de Mont-Sauveur qui est très belle. La location de
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