MONTAIGNE, écrivain philosophe, qui a fait juste une œuvre, « Essais », c’est des réflexions libres, pas de pensées définitives. Essais : tentative, ébauche.
HUMANISTES : croire en la capacité de l’Homme, volonté de connaître l’Homme.

Quelles leçons Montaigne tire-t-il du voyage ?
Montaigne nous fait part de ses idées, il fait état de sa situation de voyageur. Il essaye de nous convaincre du bien-fondé de ses idées. 1er axe : Voir autrement ses contemporains et fustige leur étroitesse d’esprit [satire des préjugés et de la vanité]
-[voyageurs] à partir de la ligne 18 :
Jugement à valeur négative « j’ai honte » J’ai  prise de position supérieure
Termes hyperboliques péjoratifs : « enivrés »
« village »  forme réduite  étroitesse d’esprit
+ Micro scénette de comédie : « retrouvent-ils un compatriote en Hongrie… »  Montaigne à la volonté de les ridiculiser.
Métabole : l’emploi de 2 termes qui sont synonymes pour AMPLIFIER.
Ligne 22 « se recoudre » ; Ligne 21 « se rallier » -[la charge contre la cour] à partir de ligne 27 :
Montaigne étend sa satire à la cour, il leur reproche leur présomption, leur morgue.
-une antithèse (nous, eux) -complicité avec le lecteur
-« ôtez-leur les entretiens des mystères de la cour, ils sont hors de leur gibier… »
Montaigne montre aussi leur fragilité : incapable de chasser en dehors que dans leurs terres.
2ème axe : Découvre les plaisirs de l’improvisation [l’éloge de l’adaptabilité et de la liberté]
Ligne 1 et suivantes :
« Moi »  pronom tonique  renforce la 1ère personne
Juxtaposition de 2 éventualités qui montre cette facilité de comportement. Il voyage en fonction de son humeur, c’est lui qui décide. Il est tout seul et n’appartient pas à un groupe.
Il y a des verbes de mouvement. Question rhétorique ligne 6. Négation ligne 6.
Montaigne est heureux champ lexical du plaisir « mon plaisir » « plaisant, commode ».
Ligne 10 : « j’ai la complexion du corps libre et le goût commun »  qui s’adapte à