Michel GUERRIN, le 50eme anniversaire de l’insurrection de la capitale, le monde , 28-29 aout 1994 Philippe RAYNAUD, « la commémoration : illusion ou artifice ? »Le Débat, janvier-février 1994 Thomas Ferenczi « Le monde » aout 1994 Article de l’Encyclopeadia Universalis 1990 Primo Levi « La mémoire de l’offense » 1986 Bilan des pistes En France, tout événement génère une commémoration : guerre ou jeux olympiques La commémoration ne fait pas qu’affirmer une unité politique elle la produit. La commémoration participe à la volonté qui tente de conjurer l’accèlération du changement. Chaque société doit se former une mémoire collective sous peine de disparaître ou de perdre sa personnalité. Empêcher des souvenirs aacablants de de revenir pour que la société n’est pas une image dégradante. Ce qu’engendre le passé des sociétés.
Les arts commémorent aussi les événements (cinéma, littérature…) L’évènement impose sa commémoration à ses propres contemporains. Le succès populaire de manifestations organisée ces derniers jours dans la capitale montrent assez que ce besoin exsiste et qu’il importe à beaucoup de contemporains . La mémoire collective. Le secret la discrétion et le silence. Les différentes formes de commémorations.
Parfois détournement d’un événement en fête : perte de l’aspect historique Chaque activité reste un certain dans l’histoire avant de commencer à se dégrader. On parle tant de mémoire parce qu’il n’y en à plus. Le meilleur moyen de se défendre contre les souvenirs accablants est d’empêcher de rentrer, d’élever un barrage sanitaire le long de la frontière. Dégradation ,pertes et destruction des souvenirs.
Michel GUERRIN, le 50eme anniversaire de l’insurrection de la capitale, le monde , 28-29 aout 1994 Philippe RAYNAUD, « la commémoration : illusion ou artifice ? »Le Débat, janvier-février 1994 Thomas Ferenczi « Le monde » aout 1994 Article de l’Encyclopeadia Universalis 1990 Primo Levi « La mémoire de l’offense » 1986 Bilan des pistes