Nietzsche - le cas Wagner - fiche de lecture
« Tourner le dos à Wagner, ce fut une fatalité́ pour moi ; aimer quelque chose ensuite, une victoire » - personne ne l’a autant aimé que lui, ne s’est autant défendu contre elle. « Si j'étais moraliste, qui sait comment je l'appellerais ! Peut-être victoire sur soi-même . – Mais le philosophe n'aime pas les moralistes... il n'aime pas davantage les grands mots… » 1ère exigence philosophe : …afficher plus de contenu…
»Fausse grandeur chez Wagner ; on ne peut pas tirer de leçon de ses opéras qui sont des histoires de gens qui se laissent corrompre« le danger pour l'artiste, pour l'homme de génie – et ce sont eux les Juifs errants – le danger réside dans la femme : les femmes aimantes sont leur perte. » ; personne n’est assez fort pour ne pas se laisser corrompre. « Dans beaucoup de cas d'amour féminin, et peut-être précisément dans les plus …afficher plus de contenu…
Il l'a prouvé en sacrifiant toute règle, et, pour parler plus nettement, tout style dans la musique » ; elle est incohérente, Wagner ne sait pas calcul Wagner ne s’occupe que de problèmes modernes , de petits parisiens, sans le côté héroïque, toute ses femmes sont des Mme Bovary « Encore un mot, en passant, sur les écrits de Wagner : ils sont, entre autres choses, une école de prudence » Wagner associe une littérature à sa musique, car peur qu’elle ne soit pas comprise assez difficilement ; il se borne à répéter que sa musique n’est pas que de la musique, mais infiniment plus que ça, qu’elle n’est qu’un moyen, elle signifie