Noces à Tipasa
« Concerts d’insectes, soupirs tumultueux du monde » permet de mettre en avant le langage poétique dans cet extrait que l’on assimile a de la prose poétique. Antithèse entre la vie/ renaissance et la mort « sarcophages, ils ont contenu des morts // pour le moment il y pousse des sauges et des ravenelles » La nature est puissante et domine tout par forte présence mais aussi puisqu’on remarque qu’elle a une forme de prédominance face à la mort. Anacoluthe : «j’ouvre les yeux et mon cœur » effet de prose poétique mais permet aussi d’illustrer la sensibilité du narrateur face à la beauté de la nature. Personnification : « l’échine solide du Chenoua ; la colline qui …afficher plus de contenu…
L’espace est un endroit précis mais toujours avec cette idée de démesure avec les hyperboles, les pluriels… Alors que l’on a l’impression que le temps s’est arrêté et que le narrateur se déplace à travers le décor, seul mais aussi qu’il n’a pas de limite: forme de renouveau constant avec la nature « mélodie du monde qui parvient jusqu’à lui » « que d’heures passées ». Temps verbaux : On retrouve essentiellement du présent de narration ou d’énonciation « j’ouvre les yeux » et peu de références au passé, impression que le temps se prolonge à l’infini. On remarque toutefois qu’il y a un jeu avec la syntaxe avec l’utilisation de l’imparfait « calmait, gravissait… » Dans le but d’exprimer les regrets, marque du passage à la partie narrative.Pronoms : Opposition entre les pronoms possessifs : « ma, j’//on, sa » Passage de l’expérience personnelle du narrateur à la