« Nous voulons simplement la paix pour prier et fraterniser en afrique ».
La paix. Un mot que l’on prononce à tout moment et que l’on ne porte jamais de mesure quand elle est nôtre. La paix, un mot qui a été un leitmotiv dans l’émission de monsieur Emmanuel OUEDRAOGO du canal 3 à la réponse de sa question : quel monde rêvez-vous ?
La préoccupation de l’atelier tenue le 30 juillet à Ouagadougou (et diffusé à la TNB) sur la lutte contre la prolifération des armes légères avait pour préoccupation de soutenir les efforts de sécurité et de paix.
Le roi Mohamed VI du Maroc en nommant lui-même les Imams pour d’avantage d’ouverture et du respect de la foi de l’Islam est un effort d’école même si ce pays est toujours frapper d’attentats suicides perpétrés par des groupuscules.
Au Guinée, Le capitaine DADI Camara est en lutte contre des réseaux clandestins qui compte sur la fabrication des armes avec des produits de contre bande de tout sorte. En témoigne ses récentes découvertes. Si la Guinée à été épargner de certaine atrocité, c’est la raison de la prévoyance et de la prudence qui a prévalue.
L’attaque en Algérie a causé une quinzaine de morts pour les premières statistiques du 30 juillet. Cette attaque a une coloration sectaire.
Le Nigeria totalise environs six cent morts de ses fils en cinq jours d’affrontement pour des coups de tête suscités par des individualités qui instrumentalisent la foi pour des desseins inavoués. Coup de tête suivie d’échec et de la mort du numéro deux du chef de la secte «taliban» du nord-est.
La Somalie ne finie pas de compter ses morts. Les armes circulent et se vendent dans une contre bande savamment organisée.
Il y a dans une plage d’une radio qui dit en substance que quand la cloche du désastre sonne ailleurs, quelque part dans le monde, cela doit susciter notre attention quoique l’événement paraisse mesquin pour avoir une répercussion sur notre vie à nous.
Je ne vais pas loin dans mes analyses pour juste cadrer des faits