Parcours de vie
INTRODUCTION :
Capital symbolique :
La société de consommation attire les jeunes filles dans les endroits les plus propices à être victime de cette drogue.
Les facteurs qui pourraient mener à l’utilisation du GHB :
Premièrement, le fait que la société de consommation fasse autant de publicité pour les soirées en discothèques, cela attire les gens à aller à cet endroit, donc plus il y a de gens plus il y a de risque.
Deuxièmement, les filles sont plus souvent les victimes, car les femmes ont toujours été vues comme des femmes objets à travers les médias. Mais aussi par le fait que les femmes soient moins payées que les hommes pour le même métier, elles sont moins valorisées.
Troisièmement : Le manque d’information des jeunes filles sur les dangers encourus dans le monde nocturne, il faudrait plus de prévention.
Capital social :
Le fait est que plus les filles vont en soirée, plus il y a de dangers : car en soirée le danger est le plus grand, car le lieu et les conditions (obscurité, foule) y sont propices pour les agresseurs, car les gens ne surveillent pas leur verre. Cela n’arriverai pas au milieu de la rue, par exemple. C’est une drogue de soirée, et c’est là qu’elle y circule surtout.
Capital culturel :
Le fait est que les jeunes ne sont pas informés du danger de cette drogue, moi (Nathalie), par exemple, je ne savais pas que le fait de consommer cette drogue en trop forte dose pouvait provoquer le coma ou bien pire encore : la mort, je pensais qu’au pire la victime restait inconsciente quelques heures sans plus. D’ailleurs les effets à long terme ne sont pas encore connus.
CONCLUSION :
Prévention :
Du côté des filles (les victimes) : il serait bien de donner des cours à but informatifs, en y distribuant des dossiers par exemple. Mais aussi que les enseignants ou encore les parents en parlent à leurs enfants. Que les médias et les