1-Le rêve de l’auteur est pour lui familier car dans le premiers vers de son poème il dit : "je fais souvent ce rêve" avec le déterminant démonstratif "ce rêve" qui veux dire que ce rêve lui est déjà connu.

2-On a deux assonances la première est [e] qui est répété 4fois dans ce texte et la deuxième assonance est [a] qui est répéter trois fois dans le texte la répétition de ces assonance permettent de ralentir le récit
3-dans ce texte nous avons la présence d’une polysyndète par exemple au vers 2: ‘’que j'aime, et qui m'aime’’. Ce qui crée une accumulation et sert donc à insister sur le sentiment amoureux
5-Le poète s’interroge et ce répond à l’aide de réponse incomplète ou très vagues ce qui traduit son ignorance et permet de generaliser
6-

7-La femme est "inconnue" (vers 2) mais aimée.
La femme n'est pas décrit ou alors de façon très vagues : "ni tout à fait la même / Ni tout à fait une autre" (vers 3-4)
Son prénom et son apparence physique sont confus, ‘’Est-elle brune, blonde ou rousse ? Je l'ignore.’’ (vers 9).
La femme est loin car il dit que sa voix était lointaine. vers 13

Biographie : Paul Marie Verlaine est un poète français, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896. Paul Verlaine est un poète : son œuvre offre moins d'une dizaine de courts recueils publiés entre 1866 et 1890, La carrière poétique de Paul Verlaine s'ouvre avec les Poèmes saturniens de 1866, bref recueil de 25 poèmes qui rencontre peu d'écho mais Verlaine s'annonce comme un poète à la voix particulière, jouant subtilement sur les mètres pairs et impairs, les rythmes rompus et les formes courtes dont le sonnet

Poèmes saturniens est le titre du premier recueil de poèmes de Paul Verlaine, publié en 1866 chez l'éditeur Alphonse Lemerre.
Sonnet en alexandrin composer 2 quatrain et 2 tercet

En conclusion on comprend que si la personne qui décris est tres vagues c est parce que il pense pas a une personne en particuliers mais a tous les personne qu’