Pere goriot société
Dans cet extrait, Mme de Beauséant fait une critique violente de la société. En effet, dès le début du texte elle emploie le qualificatif « infâme » pour décrire celle-ci. « Le monde est infâme et méchant. » Elle parle ensuite des personnes qui ne sont pas dignes d'être reconnues, qui n'ont pas d'honneurs, l’auteur choisi alors de placer un oxymore : « misérable vanité ». Pour la comtesse, les gens n'ont plus de ligne de conduite. Ils ne savent plus comment agir dans la société ou encore se diriger. On le voit au travers du qualificatif « méchant » employé par Balzac. Elle emploie un vocabulaire violent, en référence à la mort dans le but de dénoncer le mal fait volontairement par les acteurs de cette société cruelle. On retrouve par exemple les termes de « victime », « bourreau » ou encore « crevée ». Dans cette société, la méchanceté vient par les mots et tout est basé sur l'apparence. On le voit dans l’antiphrase avec « un ami ». Les valeurs ne sont pas basées sur leur âme mais sur ce qu'on montre aux autres, l’auteur emploie le champ lexical de l'image: « releva », « parvenir ».
C'est une femme qui s'inclut dans la vie mondaine (utilisation du pronom personnel « je », « nous »). On note aussi l’emploie d’adjectifs démonstratifs « ci » : « Apprenez à vous méfier de ce monde ci ». Elle parle de sa propre expérience « je me défendrai », Elle dit explicitement à Rastignac son savoir et sa familiarisation avec les vices de cette société « traitez ce monde comme il mérite de l'être » Elle prévoit les