philo dev
S’interroger et se demander « Pourquoi refuse t on la conscience à l’animal ? Nous amène ainsi et d’abord à plusieurs analyses : celle des termes de notre question. Avec le verbe refuser, il faut entendre ne pas vouloir reconnaitre quelque chose à quelqu ‘un ; par conscience, il faut comprendre la connaissance intuitive que l’esprit possède de ses états et de ses actions. La conscience est le fondement et la condition de toute pensée. Cette dernière a pour objet soit le monde extérieur (c’est à dire la réalité comprenant le monde, donc autrui) soit le sujet lui-même. Enfin par animal, il faut voir être vivant possédant des caractères constants , et spécifiques. Ainsi les animaux sont dans l’ordre des choses les êtres plus près de l’homme. Les théories de l’évolution ont alimenté cette relation entre homme et animal pourtant une chose semble être acquise :On refuse à l’animal la conscience, Mais de quelle sorte de conscience prive t on l’animal ? Pourquoi la conscience ne serait que le propre de l’homme ? Qu’il y a-t-il derriere cette idée de conscience de l’animal qui la rend si inacceptable pour l’homme ? Ici tu reviens à la ligne
Trois grands axes guideront notre réflexion : le primat de la conscience comme fait anthropologique, avec ceci nous aurons dégagé des raisons de refuser la conscience à l’animal. Puis nous aborderons cette frontière étroite de la différenciation entre instinct ( qui qualifie l’animal) et la conscience qui détermine l’homme. Avec ce temps de réflexion il conviendra de voir les