Delphine de Vigan est une romancière française née 1er mars 1996. Elle est l'auteur de six romans dont No et moi en 2007 qui a été couronné par le prix des libraires. Elle a récemment sortie un nouveau livre Rien ne s’oppose à la nuit où elle retrace le destin tragique de sa mère. Premièrement, je montrerais que cet excipit est marqué par la tragédie de la mort de sa mère puis que cet extrait est renforcé par le réalisme. Enfin, je me questionnerais sur comment dans cet écrit a-t-elle trouvé la paix ?

Axe 1 : L’excipit de Delphine De Vigan est marqué par la tragédie.
I1) Champs lexicaux de la mort et de la tristesse très présents
« mort ; suicide ; maladie ; douleurs ; sang ; terreur ; décès ; désespoir ». En effet, tous ces mots exaltent un sentiments de douleur.

I2) L'histoire est émouvante dans la mesure où l'on évoque la mort d'une grand-mère, appréciée par ses petits-enfants et sa fille, à l'âge de 61 ans, ce qui est relativement jeune de nos jours.
De plus, l'histoire évoque le suicide, qui est un sujet assez présent dans la société d'aujourd'hui.

Axe 2 : Cet extrait use de réalisme
I1) Cet extrait est du genre autobiographique.
Elle évoque la mort de sa mère et de même son enfance. Elle écrit au passé et au présent.

I2) Il y à énormément de descriptions, d’accumulations et de détails
« j’avais gardé la radio sur laquelle elle s’était endormie » et « […] les causes du suicide de Lucile, le désespoir, la maladie, la fatigue, le décès de Liane »

Dans cette ouverture du roman, Delphine de Vigan nous démontre que par le biais de cet écrit, elle trouver la paix avec elle-même. Elle retrace le destin de sa mère et par ce fait, elle trouve le moyen de partager son ressentiment. Nous pouvons voir qu’entre le début et la fin de cet écrit, l’auteur trouve en quelque sorte le repos. En effet, plus on avance dans ce récit tragique, plus Delphine de Vigan emploie des métaphores, or on ne peut pas en écrire lorsque l’on est stressé ou ronger par