Blaise Cendras publie en 1913 fait partie d’une série de poème, celui que nous étudions est intitulé Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne. Il nous raconte son enfance et ses voyages en compagnie de Jehanne.

L’image que ce donne Cendrars, qui est celle d’un « bourlingueur » est illustrée de quelle manière dans cet extrait ?

D’abord, on peut dire qu’il se nomme l’image d’un bourlingueur à travers le titre. Le Transsibérien est une ligne de chemin de fer qui va de Moscou à Vladivostok, en Asie. Il nous décrit par exemple. Il nous décrit d’ailleurs le ciel de la Sibérie comme un ciel bleu et des nuages, qu’il compare ensuite à la tente déchiré d’un cirque pauvre en Flandres.

« Le ciel est comme la tente déchirée d’un cirque pauvre dans un petit village de pêcheurs » V. 1.
« En Flandres » V. 2.
« Prose du Transsibérien et de a petite Jehanne de France » Titre.

Il réussie à comparer son voyage en Sibérie avec celui de Flandres, il nous fait comprendre qu’il voyage beaucoup.

Ensuite, Il fait l’usage d’une hyperbole comme disant que les trains courent derrière lui, c’est à dire qu’il voyage plus vite que les trains. Il dit qu’il voyage tout le long de sa vie. Il nous dit donc qu’il aura voyagé toute sa vie.

« Maintenant, j’ai fait courir tous les trains le long de ma vie » V. 16.

Puis, il nous parle d’un voyage de Paris – New York alors qu’à cette époque, il est impossible de faire ce voyage en train, on ne peut que l’effectuer dans un trans-atlantique. Bâle-Tombouctou est à l’époque un voyage à l’autre bout du monde qui est alors impossible à effectuer en train, faute de chemins de fers. Ces voyages étant impossible dans la réalité, il s’imagine les effectués dans sa tête.

« Bâle-Tombouctou » V. 13.
« Paris-New York » V. 15.

L’image de Bourlingueur que se donne Cendrars est illustrée par la description des voyages qu’il fait et les comparaisons qu’il effectue et nous dit qu’il voyage tout le long de sa vie et