Psychologie sociale

629 mots 3 pages
psychologie sociale.
I)Images de soi, images de l'autre, les processus ego-centrés.
Lorsque l'on parle de processus centrés sur les individus au sein d'un groupe.
Certaines théories mettent l'accent sur la similitude, la différenciation, d'autre sur la similitude et des dernières enfin, sur la coordination entre similitude et différence.

L'accent sur la similitude : Festinger va travailler des années 50 à 70 à tout les processus de communication spontané entre les groupes.
Lorsqu'un individu intègre un groupe déjà formé, une pression va s'exercer sur l'individu pour le pousser à adopter les valeurs du groupe qu'il intègre.
On pousse l'individu à conforter le groupe dans son consensus.
La nouveauté perturbe ce consensus : le fait de se mettre en groupe pour défendre une même idée revient implicitement à vouloir se convaincre que cette croyance et vraie, valide.
FESTINGER dit que lorsqu'un individu intègre un groupe, il cherche au sein de ce groupe, une similitude rassurante, l'individu veut pouvoir se rattacher à un groupe qui valide ce qu'il est.
FESTINGER ajoute que l'individu attend du groupe, qu'il lui disent ce qu'il est, et à quoi il convient de se conformé.
L'individu va inexorablement se mettre à ressembler au groupe qu'il intègre.

D'autre auteurs disent que les groupes vont amenés la différenciation et de l'hétérogénéité.
L'individu n'apporte pas au groupe une osmose renouvelé, mais au contraire un trouble de l'ordre établit.
Si l'individu se trouve dévaluer par rapport à ce qu'il est, soit il développe une mauvaise opinion de lui même et quitté le groupe, soi il va amener dans le groupe une nouvelle manière de pensée et chercher à ce différencié du reste du groupe.
Si l'individu n'appartient plus au groupe, il n'est plus possible de l'évaluer selon les critères de ce groupe.
L'individu qui était inférieur au groupe, va tâcher de ce spécialiser, d'amener une nouvelle manière d'être ou de pensée au sein du groupe afin de modifier les

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