Psychopathologie psychanalytique des nouvelles désorganisations de l’adolescent et le jeune adulte

Introduction
On est dans une société que beaucoup des sociologues appellent cette période l’adolescent ère. Même à 50 ans il y a certaines personnes qui résonnent un peu comme des ados. Il n’y a pas de limite d’âge de l’adolescence. Du point de vue physiologique la puberté de plus en plus précoce, ça ne s’explique pas, peut-être un des facteurs sont dû à la nourriture. Et aussi il y a une sur stimulation parce que très tôt les enfants sont exposés à des débats sociétaux, concernant la sexualité, des problèmes qui sortent les adolescences de l’insouciance. Tant sur le plan physique que psychique, la puberté et la pubertaire commencent plus tôt. Par ex les enfants qui font des tentatives de suicides à 10 ans parce qu’ils ont envie de mourir, pas simplement avalé des médicaments. C’était un évènement qu’on observer uniquement chez les adolescents âgés de 14 ans. On peut dire que l’adolescence commence de plus en plus tôt et se finie de plus en plus tard. Avant on considérer l’adolescence entre l’enfance et l’état adulte, donc entre 12 et 18 ans. Maintenant il n’y a plus des frontières. On raisonne plus en termes de processus, mais d’enjeu intrapsychique, qu’un terme de stade de développement ou d’âge. L’adolescence est une période qui peut mettre à mal la pensée du psychologue car l’on voit souvent des états de crise, des passages à l’acte. A une période où tout le monde est censé avoir acquis largement le langage, mais beaucoup d’adolescents vont revenir à des modes d’expression en deca du verbal, c’est-à-dire le passage à l’acte, les gestes. Le psychologue il va falloir être suffisamment créatif, pour être dans une position, qui n’est pas celle de psychologue d’enfants, ou il va ne pas utiliser des médiations, comme le jeu, pâte à modeler, ou l’enfant a besoin d’autre que le langage. Mais pas non plus dans une posture de psychologue d’adulte, uniquement dans