* Personne ne veut être malheureux, on est tous à la recherche de quelque chose ou * quelqu’un qui peux nous faire sourire et qui peux rendre nos journées lumineuses. On * veut tous trouver le bonheur à long terme mais est-ce-que cela existe vraiment? Est-il * possible? Le bonheur est la fin de la fin, de toutes les actions, il se suffit de lui * même et tous choix est rationnels .Nous allons analyser cela par rapport à la vision * d’Épicure sur le bonheur. Pour y procéder, nous allons parler des quatre remèdes, * de l’activité philosophique et le désir. * * Premièrement, selon Épicure , il y’a quartes remèdes pour le bonheur . Le premier, nous * explique que l’être bienheureux n’a pas d’ennui et n’en procure pas aux autres. Cela veut * dire que lorsqu’un un être est heureux, il ne se préoccupe pas du mal des autres, car il ne * souffre point de jalousie. ‘’De tous ce que la sagesse procure en vue d’une existence * entièrement bienheureuse, le plus grand et de beaucoup est la possession de l’amitié’’, * (Florilège p.93). Le deuxième est la mort n’est rien pour nous, car lorsqu’on meurt, on ne * sent rien.’’Familliarise-toi avec le fait de penser que la mort n’est rien par rapport à * nous. Car tout bien et tout mal résident dans la sensation. Or, la mort constitue une * privation de la sensation. Par suite, une juste connaissance du fait que la mort n’est rien * par rapport à nous rend joyeuse la mortalité de l’existence, non pas en ajoutant un temps * infini, mais en supprimant la soif de l’immortalité /125 /Il n’y a plus rien d’effrayant, en * effet dans la vie, pour celui qui a pleinement compris qu’il n’y a rien d’effrayant dans le * fait de ne pas vivre, (Florilège p.89). Le troisième est la limite de grandeur des plaisirs est * la suppression de la souffrance, cela nous explique que la raison de la souffrance est le * désir puisqu’on pense à notre plaisir.’’ La limite