Le visuel met en scène une femme tenue au sol par un homme avec 4 spectateurs masculins autour. Le décors peut nous faire penser qu’ils sont sur un toit, de part les bâtiments en arrière plan, des blocs de béton pouvant faire penser a des immeubles, la scène se situe donc en hauteur, on discerne aussi la présence de l’eau, le décors est complètement épuré laissant place à la scène. On ressent un soucis de composition dans l’image, très équilibrés, répartit sur plusieurs plans pour montrer l’omniprésence masculine. Dolce & Gabbana, marque de luxe, joue sur la provocation, la confrontation homme femme, la domination, les quatre hommes spectateur ont des regards salasses, on ne ressent pas de violence, mais une certaine volupté renforcé par le décor épuré, les couleurs se marient parfaitement, l’omniprésence du bleu que se soit dans les vêtements, la couleur jean, le ciel est la présence d’eau donnent un coté calme a la scène. En contradiction avec ce qui s’y passe la scène est a première vue choquante mais les personnages ont l’air serein, la femme ne se débat pas elle prend la pose pour la photo, sa main n’est pas contracté, l’homme qui la tien non plus. Les yeux de la femme sont baissés, sa bouche est à moitié entrouverte, sa féminité est renforcé par son rouge à lèvre, tonic de la scène, ses cheveux sont disposés, comme si elle avait été posé délicatement sur le sol. Mais il n’y a pas que le regard de la femme qui est baissé ceux des quatre hommes aussi, ils la regardent tous, elle, on ne sait pas ou elle regarde, elle a l’ère absente, les quatre hommes ont des positions qui traduisent l’attente, mais quoi ? l’homme qui la tien est le seul à avoir des lunettes peut être qu’il ne veut pas qu’elle voit sont regard, qu’elle le voit mais elle ne le regarde pas. Ce qui choque c’est leur nombre, ils veulent quelque chose d’elle, pas spécialement quelque chose de sexuel peut être savoir quelque chose, on peut traduire son regard baissé par un signe de soumission mais