RÉQUISITOIRE CONTRE LOUIS
(L.1-22)
EXPRESSION MAL ÊTRE ET DE LA CULPABILITÉ
(L.23-29)
VERS UNE SORTIE DE LA CRISE ? FRAGILE
ENTENTE FRATERNELLE
→ Antoine cherche à résoudre la crise familiale en révélant avec lucidité, la responsabilité de Louis.
 (L1-3)
• jeu pronoms « tu » « moi »
• répét groupe préposition « devant moi »
• répét verbe « accuser »= lexiq culpabilité
→ Règlement de compte entre L et A. A blâme L.
A interprète le silence de L comme un reproche envers lui.
 «tu es là, / tu m’accables/nous accables »
• répet mot « tu » = effet d’insistance
• reprise X3 verbe « accabler » = violence !
• passe « m’ » à « nous » = action de L à A élargie au cercle familiale
→ Verbe « accabler » montre A qui étouffe et est en douleur face à la violence de L. Cette violence atteint toute la famille selon A.
 (L4-6)
• Lexique des sentiments
→ A exprime sentiments contradictoires pour L révélant tout son amour pour lui mais lui reprochant son attitude malsaine.
 (L.7-9)
• verbe « reprocher » = écho avec « accuser »
= culpabilité de Antoine
• adverbe temporels = culpabilité
→ A glisse vers l’auto-critique, culpabilité, remords
+ prend conscience mal paroles peuvent faire à L.
→ …afficher plus de contenu…

Le départ de L est vécu comme une fatalité (= c’est sûr et certain) et vécu comme un nouvel abandon.
Donc il y a déclaration d’amour par A à L.
 (L.27-30)
• champ lexical trouble moral + culpabilité
• préposition « contre » + pronom personnel renforcé « moi-même » = combat intérieur chez Antoine
→ Départ de L entraîne une crise personnelle chez A. Il nous renseigne sur son état mental après le 1er et le prochain départ de L. Il cherche ses mots et se bat avec le langage comme avec son passé. Ce n’est plus combat contre L mais combat contre soi.
→ La scène se clôt par un rapprochement timide