SEQUENCE 6 :L’autobiographie. Emois du « moi »
Rédaction d’une autobiographie
Evaluation n° T
A-Débuts d’autobiographie

J’aurais pu m’appeler Charlotte si j’avais été une fille mais le destin en a décidé autrement. Je suis né le 5 juin 2005 à 15h47 à l’hôpital de Suresnes. C’est mon père qui a eu le dernier mot sur le choix de mon prénom car ma mère avait choisi celui de mon frère ainé : Willy. C’est ainsi que je m’appellerais Anthony durant toute ma vie. Agé de 2 jours, sans que je m’en aperçoive, mon frère soufflait sa deuxième bougie. Il avait ainsi un nouveau complice de jeu dans sa vie et une nouvelle chambre car ma naissance à coïncider avec le déménagement de la famille de Marly le Roi à Rueil-Malmaison. Mon début de début de scolarité fut assez complexe car je ne suis jamais allé à la crèche avant la petite section de maternelle. Au début de l’école Primaire, c’est-à-dire dès le CP, je commençais déjà pratiquer le football comme sport avec mon frère ce qui est encore le cas aujourd’hui.

B-Regards sur les Adultes

UN SOUVENIR DIFFICILE

J’étais en CP lorsque je sautais pour prendre une balle de la tête. Je n’ai pas réussi à prendre la balle et en retombant j’ai glissé vers l’avant ce qui fait percuter mon menton contre le sol de la cour de récréation. Je ne comprenais l’affolement qui avait autour de moi et l’arrivée précipité des Pompiers pour m’emmener à l’Hôpital Stell juste à côté de l’école primaire. Je reprochais aux médecins de l’hôpital de m’avoir fait attendre le menton ensanglanté. Arrivée dans la salle « d’opération » le médecin m’a endormi pour faire les points de suture mais je me souviens avoir vu le médecin et l’entourage flouté mais je ne me posais aucune question à ce moment-là et lorsque je fus réveillé j’ai reproché encore une fois au médecin de m’avoir fait mal et je ne comprenais pas pourquoi je ne pouvais pas manger pendant le week-end et pour moi ce n’était pas difficile de soigné cette blessure sans faire mal. Je