La Marmotte et le Loire

La Marmotte en ce début de printemps, se lever d'un sommeil prolongé, avec l'arrivé de ces beaux jours, la marmotte décida de construire son nouveau terrier en vue de la prochaine saison. Elle croisa son voisin le Loire qui passer par là. Elle lui dit :
-Alors Mr le Loire, ou en êtes vous dans l'élaboration de votre habitation ?
A ces mots, le Loire lui répondit d'un ton non chaland :
-Tout le temps de la belle saison, je profite du soleil et de la nourriture. Il sera toujours temps de me mettre au travail.
La Marmotte se remet à son ouvrage, en quête de toujours vouloir faire mieux, prenant peu de temps pour se nourrir et voulant perfectionner son terrier, une galerie par ci, pour stocker la nourriture, une autre par la pour recevoir ces amis, quelques espaces pour ces futurs enfants, une grande pièce lumineuse d'une surface plus grande pour attablé tous le monde, et enfin sa chambre qui lui permettra d’hiberner le prochain hiver. A chaque fois qu'elle termine une tache, elle rélféchit, elle calcul, et veut modifier son habitat. Par le fait, la voilà rouspétant, fulminant, jamais contente d'elle, au point de n'être jamais satisfaite. Elle démolit, elle rebouche, elle creuse, sans se reposer, pendant que le Loire l'a regarde, souriant, se moquant, allonger à l'ombre et lui rétorqua :

-Alors la Marmotte, voilà déjà trois mois que tu t'uses à la tache et je n'ai toujours pas visiter ton logis. Il serais peut être temps de récolter des victuailles. Car l'automne approche et tu maigris à vue d'oeil.
La Marmotte lui répondit :
-Je suis consciente de ce que tu me dit, mais je ne peux souffrir d'imperfection de ma maison, car il m'est nécessaire d'avoir le mieux pour trouver le sommeil, mais il est vrai que tous ce temps perdu ainsi que toutes ces contrariétés me donne des migraines au point que je ne peux plus réfléchir. Et toi ou en est-tu ?
En souriant, le Loire répondit :
-Depuis bien longtemps, j'ai fabriquer mon abris et j'ai mis de