Un soir, ou une grosse tempête régnait au cœur du village ou vivait la la femme du jeune veuve. Il était tard mais c'est alors que Louise reçu une visite très surprenante. C'était son notaire qui d’occupé de l'héritage de son mari. Étonnée de sa visite d'un temps pareil, elle le fit entrée et lui servit une tisane mais celui ci refusa :

- « Je viens seulement pour vous annoncé une nouvelle très importante » Lui dit t'-il d'un air très sérieux.
Louise surprise l'écouta attentivement.
- « Je suis juste passé pour vous dire que vous n'étiez pas dans l'héritage de votre défunt mari, donc ses proches risque de vous demandez de libéré cette charmante demeure. »
- « Mais ce n'est pas possible, j'ai fait l’héritage avec lui ! »
- « Je suis désolé madame... » Lui répondît gêné le notaire, puis celui ci pris la porte.
Louise, elle était folle de rage. Elle était persuadée que c'était un coup de la famille de son mari. Louise était mal aimée par les proche du défunt, car pour eux elle ne ressentait aucun amour pour lui, qu'elle était seulement présente pour ses hauts revenu . La famille de son mari pensé aussi qu'elle ne méritait une femme comme elle car il était formidable contrairement a elle.Mais, il ne s'est jamais plains de Louise.
La veuve folle de rage après le de rage décida de s'aventurer dans le bureau de son mari après la visite du notaire, elle retourna le bureau, mais elle n'y retrouva rien.
C'est alors qu'elle s'attaqua au placard ou il rangé tout ses dossier comme il était avocat, elle pensée rien n'y trouvé et pourtant elle y trouait la lettre qu'il avait fait ensemble pour leurs héritages dans une enveloppe, avec un mot dessus. Louise posa une petite lampe de bureau par terre, puis s’assit par terre face à l'armoire. Elle lu le mot puis s'effondra.
« Je suis désolé, je me devais de tout laissé a ma famille, je t'aimais n'en doute pas mais je ne pouvais tout te légué, puis cela est mieux pour toi et ma famille. »
Mais la veuve ne pouvais