Redaction
La rentrée se passa bien mais je boudais car je n'avais pas les stylos que je désirais avoir.
Au bout d'une semaine d'école, j'avais mémorisée tous les visages de mes camarades mais surtout les crayons qu'ils avaient en leur possession, ils étaient tous magnifiques. Je fus tenté de leur « emprunter ».
A chaque pause, je fouillai dans les trousses pour récolter tous ces trésors. Les éléves se plaignirent de la disparition de leurs stylos, leurs gomme,leurs crayons à papier. Au début, ce fut un plaisir de dissimuler, de prendre ce risque pour avoir la satisfaction de les toucher, les utiliser. Après plusieurs plaintes, notre institutrice soupçonna un éléve de la classe. Elle ferma à chaque récréation la porte à clef. Je ne pouvais plus y retourner. Je réfléchis pendant une semaine à cette attitude pour satisfaire cette envie, puis je la qualifiai de vol ou d'emprunt? Le lundi matin la maîtresse interroga mon voisin ainsi que moi même, elle sut qu'on se trouvaient tous les deux dans la classe au moment des disparitions. Je certifiais n'avoir rien touché, ni au trousses ni aux stylos. Je fis des efforts pour ne pas laisser paraître ma culpabilité mais je sentis une chaleur montait en moi qui pu laisser des couleurs sur mon visage. Mon camarade connaissait mes fautes , à ma surprise, je le dénonçai . Je rentrais dans des explications un peu confuses et affirmai