Rien
Selon lui , lesdits exclus doivent connaitre un certain parcours très particulier ainsi qu’un certains nombre de caractéristiques pour être reconnu comme tel . Cela s’ajoute à une autre condition dite décisive « l’existence d’une problématique de l’exclusion, sans problématique théorico-politique de l’exclusion, pas d’exclus en chair et en os. »
Saul karsz ne cherche pas dans son texte à dresser « un profil de l exclus », comme certains sociologues, mais plutôt à nous montrer que « sans problématiques, il n’a pas d exclus ou moins pas encore. ».Dans son argumentation Saul karsz va plutôt s intéresser au cas inverse «il faut plutôt se demander ce que, sans problématique de l exclusion, lesdits exclus deviennent, et par quel genre d’actions ils seraient aussi concernés ».
L’exclusion mise en scène :
Saul Karsz va faire une présentation de la problématique d’exclusion, le terme « exclusion » est apparu en 1965. Mais son usage contemporain date des années 90, « il caractérise la précarisation et la fragilisation de populations de plus en plus nombreuses » .Cette notion d’exclusion se généralise, s’élargie, elle devient une « catégorie surdéterminée, sans frontière ».
Le terme exclusion va «dépassé la seule sphère économique et politique », il va s’intégrer dans tous sortes de vocabulaires. Certains vont la considérer comme un phénomène naturel « il n’y aurait pas eu et il ne pourrait pas y avoir de société sans exclusion.», ainsi ils vont affirmer que c est plutôt la faute aux autres « les dits