Robert capa

431 mots 2 pages
RECIT DE VIE : ROBERT CAPA

Nathan Gobinet-Tom Guillmot 3°1

Je suis Endré Friedmann né le 22 octobre 1913 à Budapest en Hongrie. Mes parents sont Pedro et Sophie Friedmann. Je suis né juste avant la première guerre mondiale sous le règne de l’empereur d’Autriche Charles 1er. Pour mon pseudonyme de Capa, je me suis inspiré du nom de Frank Capra, metteur en scène américain d'origine sicilienne dont le film New York-Miami (It happened one night) avait obtenu en 1934 plusieurs oscars. Quand à mon prénom, il est d'une origine semblable, puisque je l’ai emprunté à Robert Taylor. Des rumeurs, complétement fausses, prétendent que j’aurais été surnommé "Cápa" (requin en hongrois) dès mon enfance.

Je fais des études de sciences politiques à la Deutsche Hochschule für Politik afin d’étudier le journalisme. Je suis contraint à l’exil de mon pays natal en raison du régime autoritaire. A cause de la récession économique, mes parents ne pouvaient plus payer mes études. Je quittais donc l’école et obtins un poste d’assistant à la Dephot, une agence de photojournalisme fondée en 1928 par des compatriotes. Je rencontre l’amour en 1934 : Gerda Pohorylle, une réfugiée juive Allemande qui mourut malheureusement écrasée par un char. Pour mon pseudonyme de Capa, je me suis inspiré du nom de Frank Capra, metteur en scène américain d'origine sicilienne dont le film New York-Miami (It happened one night) avait obtenu en 1934 plusieurs oscars. Quand à mon prénom, il est d'une origine semblable, puisque je l’ai emprunté à Robert Taylor. Des rumeurs, complétement fausses, prétendent que j’aurais été surnommé "Cápa" (requin en hongrois) dès mon enfance.

Il s’agit d’une photographie que j’ai prise. Elle est très célèbre (une des plus importantes de l’histoire de la photographie). Un homme armé est arrêté net dans sa progression. Prêt à lâcher son fusil, il va tomber en arrière, les bras en croix. L’homme est photographié seul, en pied, en légère contre-plongée. Cette image est

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