Il est juste d’affirmer que Rose Latulipe est la seule responsable de son avenir brisé, car malgré son engagement à Gabriel, elle ne cesse d’encourager les attentes de ses autres soupirants. On peut constater que Rose se donnait librement à ses pulsions. On peut a priori constater qu’elle transgresse les principes religieux lorsqu’elle appui la demande de l’étranger afin de poursuive la danse après minuit et en ne respectant pas la fidélité envers son fiancé. L’écrivain signale le fait que «contre son ordinaire quoique coquette, avait tenu, toute la soirée, fidèle compagnie à son prétendu» (l. 10 à 11). Contrairement à son habitude, car elle a plutôt la manie de se laisser séduire par d’autre homme en compagnie de son prétendant. Sa tante, sainte femme, essaya de résonner Rose, mais celle-ci rétorqua en utilisant une métaphore : « Allons, tatante, dit Rose, roulez votre chapelet, et laissez les gens du monde s’amuser. »(l.56 à 57) Rose ne se préoccupe pas des avertissements religieux et ne se soucier pas de faire affront aux croyants. Qui plus est, Rose adepte des plaisirs libertins adore les divertissements où elle peut jouir de la vie. Elle se soucie peu de Gabriel, car elle aime mieux s’offrir à un inconnu pour toute la soirée comme il est dit dans l’extrait : « J’espère, ma belle demoiselle, que vous serez à moi ce soir et que nous danserons toujours ensemble./ Certainement, dit Rose, à demi-voix en jetant un coup d’œil timide au pauvre Lepard»(l.37 à 40). On perçoit ses valeurs pulsionnelles qui l’animent plutôt que la raison qui prioriserait l’attachement envers Gabriel. On peut donc dire que tout ce qui est arrivé n’est dû que par le manque de souciance, à son caractère de nature infidèle et spontané.