L’histoire de nos pendus ne sont pas leurs, porte une morale significative sur la solitude. La morale est qu’on peut se sentir seul même si on vit avec beaucoup de personnes, et même si sa famille est toujours avec soi.
L’histoire commence avec un homme qui est en train de naviguer sur l’Ouse de Kent (en Angleterre). Pendant son voyage il voit un homme qui lui dit de rebrousser chemin parce qu’il y a deux hommes qui sont pendus à un arbre. Mais il continue son chemin jusqu’aux deux hommes. Il les regarde pendant un moment et après les police arrive.
Après qu’il a vu les deux hommes, il voudrait savoir pourquoi les hommes se suicident. Alors il cherche la cause pour la solitude de les hommes, et on voit qu’on n’a pas besoin d’être seul pour être solitaire.

Moha raconte l'histoire de son père qui a disparu il y a plusieurs années en allant acheter une botte de menthe. Il est revenu récemment et a fait comme si rien ne s'était passé, comme si le aucun temps ne s'était écoulé. Ce n'est qu'à la fin qu'on réalise qu'il a été enlevé par la police, accusé d'être un opposant politique. Dans cette nouvelle, Fouad Laroui cherche avant tout à montrer comment les peuples vivent lorsqu'ils se retrouvent privés de leurs libertés les plus fondamentales. L'homme rentre chez lui après six années en prison et fait comme si à peine quelques minutes s'étaient écoulées. Il choisit ainsi d'ignorer le fait que pendant son emprisonnement, son fils a abandonné ses études pour gérer la famille, qui semble avoir sombré dans la pauvreté. L'auteur montre donc que la meilleur façon de lutter contre l'oppression c'est de l'ignorer: il fait l'éloge de la résistance passive.

Mais on voit en même temps que l'homme qui a abandonné ses idées politiques reste exactement le même, et ainsi il montre que la politique ne change rien à la personne. Il frappe aussi par la banalité de cette histoire aux yeux du narrateur qui raconte le récit enchâssé, soulignant le fait que ce type d'événement