Dans son texte, Pour conclure, s’informer fatigue, Ignacio Ramonet explique les causes de transformations des concepts journalistiques qui font en sorte qu’aujourd’hui, la presse écrite subit une crise par rapport à sa diffusion et son identité.

La première idée principale est que la vision de l’information a changé. Ramonet explique qu’à la base, l’information était de «fournir non seulement la description précise et vérifiée d'un fait, d'un événement, mais également un ensemble de paramètres contextuels permettant au lecteur de comprendre sa signification profonde.». Par son idée secondaire, il ajoute que la télévision à mené à une tout autre conception de l’information. Selon lui, les journaux télévisés aurait apporté cette idéologie du direct, faisant en sorte que s’informer «c'est, désormais, « montrer l'histoire en marche » ou, en d'autres termes, faire assister (si possible en direct) à l'événement.». L’auteur conteste ainsi l’illusion de compréhension de l’information par les images que nous, public désirons toujours plus spectaculaires et pour lesquelles nous avons développé une réel fascination.
Pour ma part, je suis totalement en accord avec l’auteur. Aujourd’hui, le moins nous faisons fonctionner notre cerveau, mieux c’est. Donnez nous des images pour que nous n’ayons plus besoin de réfléchir. On s’intéresse beaucoup plus aux images de bombes qui explosent, qu’au contexte, ou même aux conséquences de ses explosions. Cette fascination pour les images et tout ce qui est visuel n’est que le produit des médias. On ne s’intéresse plus aux journaux non parce qu’ils ne sont plus intéressants, mais parce que nous sommes conditionné à capter l’information par les images, un besoin que les journaux ne peuvent satisfaire de nos jours.

La deuxième idée principale qu’explique Ramonet, est que le concept d’actualité a changé lui aussi, encore une fois par rapport à l’influence de la télévision et de ses images. Il explique qu’on priorise les évènements qui