Simmel, le blame, la ville
Petit groupe fermé envers les étrangers mais à la cohésion forte. Peu de place pour l’autonomie des individusGrande ville : rythme rapide, attitude blasée Grands groupes donc rapport aux autres affaibli Plus de liberté de mouvementMétropole et désensibilisationPropice au développement de la modernitéLes stimulations nerveuses y sont intensifiées par le changement ininterrompu d’images et de perceptions.On évite donc d’avoir recours à la sensibilité, pour se tourner vers l’intellect (sorte de protection face milieu agressant)L’individu dans la ville : la figure du blaséL’individu y gagne en individualisation de son intellect (qui cherche à se démarquer de tous les autres),En indépendance face au groupe,Mais perd selon lui en spiritualité, délicatesse, idéalisme.Car indifférence “quasi-haineuse” et réserve.Esprit moderne de plus en plus calculateur (p. 237) précision sécurité dans décision …afficher plus de contenu…
Typologie d’une étude en Suède : peer group oriented association orientedhome-oriented10Les jeunes la nuit comme objet sociologiquela majorité des enquêtes en