Sociopolitique : Pauvreté des familles
MODULE D2 : QUESTIONS SOCIALES & REPONSES SOCIOPOLITIQUES
EVALUATION ECRITE INDIVIDUELLE
DEADLINE DU DEPOT FIXE AU JEUDI 11 SEPTEMBRE 2014
ETUDIANT-E
A compléter par l’étudiant-e
NOM(S) Bernasconi
PRENOM(S) Manon
PROMOTION HES 13 PT
TITRE (THEME/SUJET) DU TRAVAIL : Pauvreté des familles
DECOMPTE DU NOMBRE DE MOTS
3000
PROFESSEUR-E-S DES TPE
□ Dunya Acklin
Veuillez cochez svp.
□ Chantal Guex
! Elisabeth Gutjahr
□ Sandra Modica
□ Benoit Renevey
INTERVISION(S) EVENTUELLE(S)
A compléter par les Professeur-e-s
□ Dunya Acklin
□ Chantal Guex
□ Elisabeth Gutjahr
□ Sandra Modica
□ Benoit Renevey
EVALUATION FINALE
Introduction
La pauvreté des familles est une construction sociale plurielle et instable dont la représentation diffère selon les époques, et partant conditionne les remèdes que la société lui apporte. Pour analyser la problématique selon une approche constructiviste, je me réfère au modèle dit «de Renoir» (Acklin, Modica, 2014) dont les étapes, non étanches, peuvent se juxtaposer.
La pauvreté au sens plus général est également une construction sociale, dont la perception peut varier.
Aujourd’hui, en Suisse, elle est relative, et traduit l’impossibilité de mener une vie comparable à celles de la majorité des habitants (Summermatter, 2010). Les indigents y ont un logement, de la nourriture et une couverture de santé; leur état est donc quasi invisible et peut être méconnu.
Toujours dans notre pays, en 2010, 7,8% des familles vivaient en-dessous du seuil de pauvreté (Rebetez, Louvin,
2012); un an plus tard, elles formaient 36,4% de la population pauvre selon l’Office fédéral de la statistique (OFS,
2011). Constat interpellant: la présence ou la venue d’enfant(s) accroît les risques de pauvreté des familles! Au point, selon la Commission fédérale de coordination pour les questions familiales qu’un quart des familles monoparentales et un quart des familles nombreuses vivent en dessous du seuil de pauvreté (COFF, 2009).
Pour combattre