Spleen de Baudelaire

780 mots 4 pages
L.L Spleen pdfLecture Analytique
« Spleen, J’ai plus de souvenirs... » Le poème que je vais vous présenter se nomme « Spleen », extrait du recueil
Les Fleurs du Mal écrit par Charles Baudelaire et publié en 1857. Charles
Baudelaire est un poète du XIXème siècle dont la modernité poétique relève du
Symbolisme. On peut le considérer comme « un poète maudit », expression qui en général un poète qui, incompris dès sa jeunesse, rejette les valeurs de la société, se conduit de manière provocante.
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· 17 : L’ennui, thème Baudelairien, d’abord pris dans un sens faible est déployé ensuite dans son sens fort « les proportions de l’immortalité » infini.
· 19 : Instant critique de crise, adv de temps « Désormais ». Généralisation va croissant du poète ou de son « cerveau » à ses « boiteuses journées » pour ensuite s’étendre aux proportions de la vie en général, avec invocation « ô matière vivante »
· 20-24 : Dernière allégorie, reprise orientaliste de la « pyramide » (v6) Idée de durée millénaire. Le « vieux sphinx » pourrait reprendre à son compte le premier vers. Circularité du poème, temporalité de la réitération
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2) ne vivrait que par la présence de son propriétaire absent, et ainsi en est-il du « vieux boudoir » (v. 11). Les autres allégories funèbres donnent l’image d’un silence de mort, d’une parole qui ne s’extériorise plus.
· 18 : Seul moment où il y a l’initiation d’un mouvement avec « Prend les proportions » mais mouvement qui avorte par amplitude excessive vers
« l’immortalité »
· 20 : Forme minérale du « granit », opaque par excellence, renforcé par l’idée de sommeil avec « assoupi » (v. 21)
· 22 : Idée du « sphinx » comme refermé sur ses propres mystères.
· 24 : Nuance : bien qu’il y ait restriction « qu’aux », il y a quand même chant.
Métaphore de la parole poétique qui survit à la mort ?
Conclusion :
· Limites de la vie fait chercher une réponse dans l’au-delà, incarné

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