“Prisonnier dans mon propre corps”

Genevieve van Tricht
Je vais vous présenter un sujet peu commun, un problème dont peu de gens sont conscients mais qui constitue un véritable trouble social. Il s’agit de soulever la question de la consommation, en France notament, des dérivés de la molécule de buprénorphine, plus particulièrement sous forme de Subutex. Le subutex est un produit pharmaceutique analgésique utilisé principalement comme substitutif à la consomation d’opiacés (héroine surtout). Sous forme originale de poudre blanche, il peut être consommé en plusieurs moyens (voie orale pour la majorité), par injection ou, le cas le moins fréquent, par inhalation. La législation sur le subutex présente de véritables problèmes et de nombreuses contestations. En France par exemple, l’usage est légal. Mais, malgré l’intéret présenté par les produits substitutif dans le cadre de la désintoxication, la consomation d’une molécule ne va pas sans des graves problèmes; d’une parte, il existe des nombreux effets secondaires dont certains sont dangereux: migraines, insomnies, nausées, hypotension, et les visions hallucinatives par exemple. Le problème de risque de transmission infectieuse par exemple le SIDA existe aussi dans le cas d’usage par injection, surtout dans les milieux sociaux à risques, et l’association de ces substances à d’autres (alcool notament) peut provoquer des conséquences lesquelles peuvent aller jusqu’au mort brutalle. Enfin, la consomation de buprénorphine crée une risque de développement de maladies épathiques. D’autre part, bien que destiné à lutter contre la consomation des drogues, le Subutex est lui même un produit addictif qui crée une forte dépendance assez forte que le héroine elle-même. Comme toutes dépendances, il y a un phénomène de crise de manque en cas d’arreter, jusqu’au malaise physique. Ainsi, depuis les premières années de la décénie 2000, les gens ont commencé d’utiliser le Subutex