Les frottements de mes vêtements sur ma peau devenaient insupportables, il me fallait encore un peu de courage , la maison n’était pas loin .

Lorsque je rentrerais, je prendrai un long bain chaud et oublierai cette journée a jamais pensais-je .
Mais pourquoi Dieu cette femme me hantait elle ?
Ce n’ai pas faute d’y avoir songée ,mais je ne trouvais aucunes réponses justifiable .

19h30 sonnait a l’horloge de la ville quand je passa le pas de la porte , le concierge fumait ça pipe dans la petite cour et me regarda d’un air étrange tout en me saluant , je haussa les épaules comme pour l’interroger sur la cause d’un tel regard bien que sachant la réponse .
Je montais les marches 4 à 4 , empressé de retrouver la chaleur de mon foyer qui me réconfortera de cet apres midi si étrange …

Mais ma soirée se déroula dans une toute semblable ambiance , chacun de mes faits et gestes étaient contrôlés par mes pensée pour Cécile , c’est ainsi que je l’avais surnommée pour sa signification « aveugle » en latin , et je l’accusait donc d’être aveugle a mon amour , je rougis d’appeler cela de l’amour , mais c’est une vérité .. je l’aimais.

Une semaine passa , je me surprenais a devenir mondain et coquet , sûrement afin de changer mes idées continuellement répétitives , je me haïssais de l’aimer.
6 novembre : je rentrais d’une longue soirée ou l’alcool avait couler a flot j’étais ivre . j’ouvris avec difficulté la lourde porte de l’entrée principale , a son habitude le concierge étais toujours là fumant sa pipe , mais ne me regardait plus avec étonnement , il devait sûrement avoir pris l’habitude de mes differents exploits.
Fouillant les fonds de mes poches , cherchant mes clefs je senti celui ci me frappant 3 léger coups sur l’epaule , j’esquivait son regard comme un adolescent voulant dissimulée son etat , il n’y prêta pas attention , il me tendit simplement un morceau de papier plier en 4 , j’abandonna ma recherche et l’ouvrit .
Il y avait la une adresse ,