Les exemples cités s'appuient sur deux relations CLIENT et TYPE_CLIENT de structure : CLIENT (Num_cli, Nom_cli, Adrue_cli, Cp_cli, Ville_cli, Paiement_cli, Date_1ere_commande, Code_type) Num_cli : Clé primaire
Code_type : clé étrangère en référence à Code_type dans TYPE_CLIENT

TYPE_CLIENT (Codetype, Intitulétype)
Codetype : Clé primaire

qui ont généré deux tables de même nom dans une base de données.

SQL s'applique au schéma relationnel mais est mis en œuvre dans la base de données : on considérera qu'on utilise des tables (issues de relations) composés de champs (issus d'attributs).
1/ Présentation
Le langage SQL (Structured Query Language  Langage structuré d'interrogation ou de requête) permet de manipuler une base de données, quel que soit le logiciel qui la gère, afin de non seulement en obtenir des informations résultantes (seul élément vu en classe de première) mais aussi de créer des tables, ajouter, modifier supprimer des enregistrements, etc.
2/ Règles de syntaxe et projection
Toute commande SQL dont le but est d'interroger une base de données commence par l'ordre SELECT.
Certains logiciels, comme ACCESS, ponctuent une requête SQL avec ;. Mais cela n'est pas obligatoire.

La structure d'une commande SELECT est la suivante :
SELECT ordre qui décrit les champs projetés (et les calculs éventuels),
FROM clause qui décrit la (les) table(s) d'où sont issus les champs utilisés par la requête
WHERE clause qui décrit les critères de restriction et de jointure
ORDER BY clause qui décrit les critères de tri
S'il n'y a pas de restriction ni de jointure, la ligne WHERE n'existe pas, la ligne ORDER BY passe en troisième ligne.
Sans restriction, ni jointure, ni tri, seules deux lignes sont utiles : SELECT et FROM.
Les champs projetés, les tables et les critères de tri sont séparés par des virgules s'il y a lieu. Les champs peuvent être préfixés (qualifiés) avec le nom de la table à laquelle ils appartiennent pour éviter de les