tableaux
Mouvement expressionniste, couleurs complètement inattendues. Un portrait dont l’air de l’officier est nostalgique, triste, apeuré. Il a l’air maigre et on dirait qu’il a e la neige sur son bonnet. Il n’est dessiné que le buste, mais on n’apprécie pas les épaules, il est vêtu d’un drap. Il n’y a pas de fond, ce n’est qu’une couleur beige monotone.
André Mare, Autoportrait, 1916.
Tableau peint sur du papier qu’on dirait ancien. Il est divisé en 2 parties : à gauche, des choses écrites, à droite, le portrait fait avec des différentes couleurs très vives et des formes géométriques. On dirait le portrait d’un Indien d’Amérique.
Otto Dix, autoportrait en soldat, 1914.
De nouveau le tableau est divisé en 2 et peint avec des traits très longs et désordonnés. À gauche un portrait d’homme chauve, de trois quarts, brun, aux traits marqués, avec des couleurs surprenantes, inattendues. À droite, un portrait d’un homme encore de trois quarts, avec le chapeau de soldat, ainsi que la veste, on ne voit que ses yeux blancs dans son extrêmement sombre visage. Le fond est très sombre aussi.
Otto Dix, Autoportrait en cible, 1915.
Le lieutenant est complètement de face, avec la peau claire avec les joues rouges, et un fond sombre tout au long de sa silhouette et clair pour le reste du tableau il porte la veste et le bonnet de l’armée. Il a l’air très sérieux et même un peu triste.
Jean Metzinger, Soldat jouant aux échecs, 1916.
Le tableau est fait à partir de formes géométriques de couleurs très vives. On dirait qu’il a deux têtes superposées, Les traits sont très simples, on ne peut même pas apprécier le visage du soldat.