Première topique.
Distingue le conscient, le préconscient et l’inconscient
L’inconscient est l’ensemble des idées, images, souvenirs, refoulées, qui tendent à devenir conscientes mais qui en sont empêchés-. Il faut donc une force/ une dynamique qui les en empêche le « gardien »/préconscient. C’est pourquoi Freud définit dans un premier temps l’inconscient comme le refoulé. Le refoulement est le processus qui empêche le refoulé d’apparaître à la conscience. Il est exercé par cette dynamique que Freud nomme censure. Pour Freud, L’inconscient est le tabernacle, le lieu privilégié des événements traumatique refoulé.
Freud distingue l’inconscient du préconscient. Par préconscient, il entend l’ensemble des idées, souvenirs qui ne sont pas actuellement conscientes mais qui sont susceptibles de le devenir.
Freud affirme que ce sont les pulsions, les désirs qui s’opposent à la moral social qui sont refoulées, tel est le sens de la censure. Les 3 systèmes psychiques sont séparés par des frontières, contrôlés par les censures qui laissent ou pas passer l’information d’un état à un autre.
Sans la censure, il n’y a pas de refoulement : c’est la perversion. Elle apparaît comme l’effet d’une éducation qui a échoué ou d’une trop grande puissance innée des pulsions.
Si nous admettons que la censure est consciente, alors le malade devrait savoir qu’il a refoulé une pulsion et il ne devrait pas y avoir d’inconscient.
Si nous admettons que la censure est préconsciente alors Il serait facile de retrouver le souvenir du refoulement.
Est-elle alors inconsciente ? C’est la seule réponse pour comprendre que le malade ne se souvienne pas ou résiste au souvenir des événements ou des chocs traumatiques qui l’ont conduit dans son état. Or, une telle hypothèse implique que l’inconscient ne soit pas seulement le refoulé mais qu’il y ait en lui une instance qui opère le refoulement, il est le « siège des pulsions qui existent en nous à la naissance ».
Cette difficulté a amené Freud