Tristan et Iseut
» Ils se mirent à la voie, tristement, dans la nuit. Mais leur route longeait le verger enclos de pieux où Tristan, jadis, attendait son amie. La nuit brillait limpide. Au détour du chemin, non loin de la palissade, il vit se dresser dans la clarté du ciel le tronc robuste du grand pin. « Beau maître, attends sous le bois prochain; bientôt je serai revenu.– Où vas-tu? Fou, veux-tu sans répit chercher la mort? » Mais déjà, d’un bond assuré, Tristan avait franchi la palissade de pieux. Il vint sous le grand pin, près du perron de marbre clair. Que servirait maintenant de jeter à la fontaine des copeaux bien taillés? Iseut ne viendrait plus! À pas souples et …afficher plus de contenu…
Passage : 1- « Amie belle, vous êtes sûre que c’est sa nef? » (V.4) 2- « Dites-moi comment est la voile. » (V.4)Passage : 1- « Sur la mer, le vent s’était levé et frappait la voile en plein milieu. Il poussa la nef jusqu’à la terre. Iseut la Blonde débarqua. » (V.12-13)2- « Elle entendit de grandes plaintes par les rues, et les cloches sonner aux moutiers, aux chapelles / Elle demande aux gens du pays pourquoi ces glas, pourquoi ces pleurs. » (V.13-15)Idée secondaire 2 : Iseut aux Blanches Mains a menti à Tristan. Celui-ci finit par