En 1976, le médecin de campagne anglais, Edward Jenner a trouvé le moyen de contrer cette maladie. Grâce à une rencontre plutôt innatendu avec une paysanne qui s'occupait des vaches qui avaient contractés une maladie appellée la vaccine. Jenner a constaté que cette femme n'avait jamais attrapée la variole. Il en a donc déduis que la maladie de la vache avait protégé la femme contre la variole. Ensuite, Jenner a eu l'idée d'injecter une préparation composée de pustules présentent sur la peau des vaches et donc contnants le virus de la vaccine. Or cette forme de maladie était très proche de la variole mais beaucoup moin dangereuse. Après avoir injecté cette préparation à un enfant de 8 ans, il a pu voir que celui-ci était protégé contre la variole. Il vérifia sa conclusion en lui injectant quelques mois plus tard, le virus de la variole, et remarqua que l'enfant ne contracta pas la maladie.
En démontrant cela en 1796 l’efficacité de cette pratique sur ce jeune enfant, le nom de « vaccination » va, dès 1800, se propager très rapidement dans le monde, permettant de faire chuter la mortalité. Cependant, des épidémies persistent tout de même.
Pendant plus de quatre-vingts, aucun autre vaccin n’existera. L’épopée reprendra en 1879 avec la célèbre expérience de Pasteur et Roux sur le bacille de choléra de poule. Avant de partir pour deux semaines de vacances, Pasteur oublie une culture une culture de bactéries provenant de poulets malades dans une petit boîte placée à l’air libre. A son retour, il retrouve la boîte et a l’idée d’injecter les bactéries mortelles à des poulets en bonne santé. A sa grande surprise, les volailles ne sont que très légèrement malades puis elles guérissent. Il va même encore plus loin en injectant une nouvelle dose de bactérie mortelles fraîchement cultivées dans les mêmes poulets, et remarque que les volailles ne tombent pas malades.
Il en déduis donc qu’une de bacille laissée quelque temps à l’air ne transmet plus le choléra, et immunise