Vivre sans lois c,est de situer au niveau préconventiel

Celui qui suit les lois aveuglement n’est pas autonome.

Tout d’abord, examinons le niveau préconventionnel de Lawrence Kohlberg des stades de développement moral : au stade 1, l’individu reconnait si l’action est bonne d’après les conséquences de ces actions et au stade 2 l’action est bonne si elle satisfait les besoins de la personne et seulement occasionnellement ceux des autres. D’après cette théorie vivre sans lois nous situerai au niveau préconventionnel puisque l’individu pourrait déterminer par lui-même ce qui est bon, ce qui est utile, sans respecter les principes universelles acceptable. Pour pouvoir atteindre le plus haut degré d’autonomie il faudrait se situer au niveau postconventionnel, stade 6, ou l’individu à la capacité de juger les lois.

Par ailleurs, selon l’expérimentation de Milgram lorsque la personne obéit au lois à la lettre elle ne se sent pas responsable de ses actes. Il faut pouvoir exercer son jugement, son libre arbitre. Pour Kohlberg, l’autonomie vient non pas qu’on suit les lois aveuglement mais plustot quand on comprend que toutes les situation ne peuvent pas être codifier dans la loi.

Vivre sans principes ni lois est-ce le plus haut degrés de l’autonomie ? Vivre sans principes ni lois n’est certainement pas le plus haut degrés d’autonomie. L’autonomie vient non pas lorsqu’on vit sans loie mais bien lorsque on a la capacité de les juger face aux principes universels. Par contre, une problématique s’impose quand au sujet de l’uniersalité des principes moraux. On peut penser que de réfléchir au niveau des principes on peut perdre de vue la réalité, son âme d’artiste. Faut-il vivre sans principes ni lois pour atteindre le plus haut degrés de l’autonomie ou faut-il plustôt atteindre l’autonomie moral par le raisonnement au niveau des principes universel ? Nous examinerons cette question en nous basons sur le fait que l’autonomie suppose la capacité de juger les