J'acccuse
En 1894, le capitaine français Alfred Dreyfus a été arrêté pour avoir délivré aux allemands des documents secrets. Il sera condamné au bagne et à perpétuité sur simple ressemblance d’écriture sur un bordereau. Derrière cette accusation se cache une autre réalité, qu’on qualifie de religieuse, car le capitaine Dreyfus était issu d'une famille juive alsacienne. Cette banale histoire d’espionnage deviendra « l’affaire Dreyfus » une des plus graves crises politiques de la 3eme République. Le 11 janvier 1898, Estherzy est acquitté à l’unanimité, après avoir été dénoncé publiquement par Mathieu Dreyfus.
A la suite de ces événements, apparait l’article « j’accuse » écrite par Emile Zola. Ce dernier étant un célèbre romancier qui s’est engagé au coté des partisans à lutter contre l’affaire Dreyfus, injustement condamné par l’armée française. Dans cette lettre, il emploi une argumentation implacable au service d’une exigence de vérité. Lors de son discours, on remarque une forte domination entre 2chanmps lexicaux opposés que sont le mensonge et la vérité. Au début du texte, on constate que le champ lexical du « mensonge » est dominant : « mensongers », « égarer l’opinion », «acquitter sciemment un coupable ».ensuite, dans le 2eme partie (L12-26), on insiste sur le le thème de la vérité : «hâter l’explosion de la vérité ».. La thèse défendue par Zola, est la condamnation injuste de Dreyfus montée par le ministre de Guerre à cause d’une erreur judiciaire. L’écrivain écrit alors une lettre ouverte au président de la République pour dénoncer cet acte afin d’en rétablir la vérité. D’autre part, Le titre « j’accuse » est à la première personne du singulier ce qui démontre que Zola s’est engagé à dénoncer la vérité, à inquiéter et à intimider ses adversaires .de plus, Zola a eu recourt à différents procédés dont : l’anaphore (j’accuse répété 5fois) mettant en valeur ce mot au niveau du sens et du rythme. La lettre marque par