L'espèce humaine, robert antelme
I) La nature: décrite comme un paradis symbole de vie.
En soi: sensualité de la description (allitérations, répétitions, adjectifs mélioratifs) au présent avec des verbes d'actions personnifiants la nature.
Au yeux des persécutes qui l'imaginent, et l'idéalisent depuis la "salle" du gymnase: comment retrouver sa "caresse", sa beauté.
II) Convoité car perdu par des détenus déshumanisés: ont ils changé d'espèce ?
Sont ils devenus comme, moins que les bêtes ? Oui et non.
Sont ils sortis de l'espèce humaines ? Y a t'il anviguïté ?
III) Dont le narrateur-survivant réaffirme l'appartenance a l'espèce commune de tous les hommes, bons ou mauvais.
Le va et vient entre le narrateur et le monde: lien de la pensée douée de raison qui ne cède pas a la tentative de déshumanisation, et part de l'expérience concrète du "nous" pour aboutir a la réflexion philosophique généralisante.
Réflexion sur ce monde dont ils ont la nostalgie, et où pourtant l'exclusion est la norme, hélas: d'où la dernière affirmation, avec la formule restrictive ligne 1.63-64
Conclusion: Par le jeu de comparaisons et d'un