L'espèce humaine, robert antelme

407 mots 2 pages
Introduction: Quand il écrit l'espèce humaine, récit autobiographique proche de l'essai, entre 1946 et 47, Robert Antelme, philosophe, a trente ans. Cela fait un an qu'il est revenu du camp de Gandersheim. C'est là qu'il sera miraculeusement sauvé par F. Mitterrand, qui était dans le même réseau de résistance que lui. L'extrait se situe dans la deuxième partie du lire "La route" où il raconte comment on les a "emportés" de Buchenwald à Dachau. Qu'ils soient détenus ou SS, pour conclure a l'unicité de l'espèce humaine, d'où le titre du livre, précédé d'un article défini. Nous pouvons nous demander comment Robert Antelme en arrive à cette conclusion. Nous verrons que la beauté de la nature apparaît d'autant plus poignante qu'elle jouit d'une douceur qui a été ôter au narrateur et a des compagnons, puisque les SS les ont voués a la déshumanisation et a la mort.

I) La nature: décrite comme un paradis symbole de vie.

En soi: sensualité de la description (allitérations, répétitions, adjectifs mélioratifs) au présent avec des verbes d'actions personnifiants la nature.
Au yeux des persécutes qui l'imaginent, et l'idéalisent depuis la "salle" du gymnase: comment retrouver sa "caresse", sa beauté.

II) Convoité car perdu par des détenus déshumanisés: ont ils changé d'espèce ?

Sont ils devenus comme, moins que les bêtes ? Oui et non.
Sont ils sortis de l'espèce humaines ? Y a t'il anviguïté ?

III) Dont le narrateur-survivant réaffirme l'appartenance a l'espèce commune de tous les hommes, bons ou mauvais.

Le va et vient entre le narrateur et le monde: lien de la pensée douée de raison qui ne cède pas a la tentative de déshumanisation, et part de l'expérience concrète du "nous" pour aboutir a la réflexion philosophique généralisante.
Réflexion sur ce monde dont ils ont la nostalgie, et où pourtant l'exclusion est la norme, hélas: d'où la dernière affirmation, avec la formule restrictive ligne 1.63-64

Conclusion: Par le jeu de comparaisons et d'un

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