L Ecole Des Femmes
1. C’est évident qu’Arnolphe a beaucoup de sentiments négatifs envers les femmes. Dès le début de la pièce, il parle contre le genre féminin avec Chrysalde, en disant que les hommes sont maltraités chez eux et que leurs femmes profitent de l’argent et les salaires que leurs maris gagnent. Il généralise les femmes comme des trompeuses, disant qu’elles « [Font] fausse confidence à [leurs] époux fidèles » et sortent avec beaucoup d’autres hommes, ou des « damoiseaux » (Molière, 29). Arnolphe dit que les femmes déshonorent les hommes et les forcent à acheter des cadeaux tout le temps, afin qu’elles restent fidèles. Il explique que bien que les demoiselles puissent être charmantes et belles, elles sont malignes et capables de les tromper et de les traiter comme « sots » (Molière, 28).
4. Quand Agnès fait le récit de son entrevue avec la vieille femme, il est évident que Molière a voulu communiquer quelques idées au public. Le premier intérêt de décrire ce qui est passé était pour souligner à quel point Agnès était innocente au début de la pièce, et avec quel facilité elle pouvait être manipulée par des personnes. Elle a cru tous ce que la vielle lui a raconté sans aucun doute, même s’il était évident que l’homme dont elle parlait (Horace) n’était pas vraiment en train de mourir a cause des yeux d’Agnès, qui « ont fait ce coup fatal, Et c’est de leurs regards qu’est venu tout son mal », ou que le seul moyen de le soigner c’était de lui rendre visite (Molière, 58). Un autre intérêt de ce long récit est pour introduire le commencement de l’histoire d’amour entre Horace et Agnès, aussi bien que la difficulté, chagrin et confusion que cela a posée pour Arnolphe.
6. Pendant toute la pièce, Molière se moque d’Arnolphe en le faisant paraître que tous vas bien ce passer pour lui, mais au dernier moment il y a toujours un problème qui se présente. Mais, dans l’Acte III, Arnolphe a finalement reçu un peut de respect et a été présenté en maitre. En