École de chicago
Résumé séance 1:
Identifier différentes racines de l'école de Chicago
Le Darwinisme social :
Relations entre les différentes races sociales. Compétition pour la survie, l'espèce la plus adaptée survivra le mieux.
Le darwinisme social a été introduit par un philosophe sociologue Spencer. Il adopte ce schéma darwinien mais uniquement sur l'humain. L'école de Chicago, Park et Burgess vont étudier la ville de Chicago et la manière dont va se répartir les différentes communautés, ils vont remarquer une lutte des territoires. Il y a donc une idée de compétition, pas forcément consciente.
Les racines chrétiennes de l'école de Chicago :
La plupart des sociologues refusent d'entendre que leur proximité vers certaines religions peut avoir des conséquences sur leur recherche. Small (premier directeur de l'école de Chicago) a fait des études de théologie. Il y a une certaine empreinte, une trace de leur « expérience religieuse ».
Ce lien entre protestantisme et l'école de Chicago va se cristaliser, ils sont assez proches des réformateurs sociaux. Ils ne sont pas indifférents au sort de la population pauvre et sont mêmes dans une optique d'amélioration des conditions de vie.
Ces racines chrétiennes vont de plus en plus disparaître et les nouveaux sociologues comme Park s'attachent plus aux valeurs scientifiques ( // Durkheim voulait avant tout établir une morale scientifique, laique).
CONCLUSION 1 ER CHAPITRE :
L'école de Chicago se caractérise et bénéficie de multiples racines culturelles, idéologique, disciplinaires.... Si on suit cette culture là il en découle du fait que l'école ne s'est pas construite toute seule. Il est intéressant de voir comment les sociologues défendent leurs disciplines. Les sociologues en France qui s'identifie comme proche de l'école de Chicago défendent une idée anti philosophie... Claude Dubard, par exemple, sociologue français, construit sa pensée de manière anti philosophique, ou anti politique