En premier lieu, au cours de l’extrait, Arnolphe ainsi que Agnès éprouvent se qu’on pourrait appeler de la haine. Chacun pour leurs propres raisons. La déclaration d’Arnolphe est quelque peu absurde, puisque le bu de cet entretient est bien de faire changer l’avis d’Agnès afin qu’elle le prenne pour mari, mais tout au long de la haine est ressentit de la part des deux personnages. Arnolphe qui craint d’être cocu, à développé de l’aversion envers elles, tel que nous le démontre cette citation : > Ce champ lexical présente bien l’hostilité systématique de l’homme à l’égard des femmes. C’est pourquoi il a élevé Agnès dans l’ignorance à l’exclus de tous, mais elle est malgré tout tombé amoureuse du jeune Horace qui rodait autour de chez elle. Arnolphe, qui a découvert les sentiments d’Agnès envers Horace, ressent du mépris pour la jeune femme : > Par cette métaphore, le tuteur lui dit qu’après tous les efforts consacrés à son éducation, qu’elle lui est redevable. Mais celle-ci sais bien que tous les efforts fournis n’étaient pas par amour, mais bien afin qu’elle lui soit totalement soumise. C’est bien au contraire qu’Agnès croit devoir d’avantage à Horace qui lui a apprit tout ce qu’elle sait, ainsi le fait qu’elle était maintenue dans l’ignorance. Cette candeur ne l’a laissant pas moins honteuse crée chez elle de l’antipathie pour Arnolphe. M. de la Souche interroge la jeune femme afin qu’elle lui explique la raison de son désintérêts et elle lui rétorque aussitôt : > Cet extrait sous forme de comparaison, montre qu’elle ne ressent pas d’amour de la part de son tuteur, ce qui va de soit, puisque les discours du veille homme concernant le mariage sont pénibles et n’en ressort rien d’agréable, alors que Horace, lui, prône le plaisir de s’unir d’un amour véritable. D’ailleurs le tuteur ressent bien la répulsion qu’Agnès éprouve pour lui : > Cette citation prouve qu’Arnolphe sait qu’Agnès n’est aucunement attirée par lui. Bref le but d’Arnolphe, qui est de